Vendu comme un huis-clos à ciel ouvert haletant… On comprend rapidement pourquoi ! Dès les premiers chapitres de « La nuit n’est jamais complète » de Niko Tackian, nous nous retrouvons comme pris au piège en plein milieu d’un désert aride, perdu quelque part entre l’argentine et le chili. En compagnie des 5 protagonistes, chercher à résoudre les énigmes de toutes les horreurs que ces larrons vont subir durant leur aventure macabre devient rapidement une priorité ! Et il y a de très fortes chances pour que, comme moi, vous soyez extrêmement surpris par le plot twist de fin !

Ce livre est un page turner haletant qui vous mènera au plus proche des abysses et de leurs compréhensions ! Un stress palpable et des sueurs froides vous attendent au détour des courts chapitres qui composent les quelque 270 pages de ce thriller. Niko Tackian joue avec votre imaginaire. Il s’amuse de vos terreurs les plus profondes avec une grande habileté. C’est une des belles forces de ce livre !
Bien rythmé, le récit n’a eu le temps de m’offrir aucune longueur ni aucun ennui !

Un sujet profond, mais caché

En définitive, je retiens de cette lecture quelques moments de tensions insondables à la fin de certains chapitres mais aussi et surtout, le plus important, une histoire qui m’a mené à réfléchir sur un sujet profond que je ne peux évoquer dans cette chronique, au risque de vous divulguer toute l’intrigue ! Ce serait dommage et pour cela, foncez lire ce roman fraîchement réédité par la maison d’édition historique Calmann-Lévy ! Pour vous procurer la réédition du roman « La nuit n’est jamais complète » de Niko Tackian, c’est par ici !